Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le second tome de la trilogie Avril écrite par Léa Como et publiée aux éditions Hlab.
Résumé :
À contrecœur, Avril a dû retourner à Paris, laissant ses amis dans une situation plus dangereuse que jamais. Comment les aider quand elle ne peut pas faire un pas sans que son père le sache ?
Décidée à intervenir coûte que coûte, Avril se met sur le pied de guerre. Le compte à rebours a commencé : Avril va devoir déjouer la vigilance de son père si elle souhaite empêcher la mort certaine des élèves de Schooltime.
Mon avis :
Avril est de retour en France pour son plus grand malheur.
Les semaines passent et la jeune femme doit reprendre le cours de sa vie.
Elle tente de suivre le moule, mais sa perspicacité n’a d’égale que son obstination.
Dans sa tête, mille scénarios se succèdent et un seul être hante ses jours et ses nuits. Elle se doit de retourner auprès du beau Jeff et déjouer les plans machiavéliques prévus pour cette fin d’année.
Dans cette opus, le ton monte d’un cran.
Entre traque et coups montés, le suspens est à son comble.
Les sentiments se renforcent pour former une bulle de bien-être qui vient se fracasser contre les méandres du mal.
Les méchants ne sont pas ceux qu’ont croit mais les gentils non plus…
Et cette fin ! J’ai peur de ce qui pourrait se passer dans le dernier tome.
Je remercie les éditions Hlab pour cette découverte et son auteure pour cette histoire rocambolesque. Bravo Léa, tu as su faire monter la tension dans tous les sens du terme 😉
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le dernier tome de la trilogie Little Shade de Maeva Bonachera publiée aux éditions Hlab.
Résumé :
Kidnappée par son oncle, le Roi garou d’Espagne, Bastet atterrit sur un yacht en compagnie de son cousin et de ses demi-frères taciturnes. Pour couronner le tout, elle se retrouve en charge d’un bébé sorcière qui s’enflamme à la moindre occasion. Avec ça, les nouvelles aventures de Bastet de Soto s’annoncent plus rocambolesques que jamais !
Mais dans son sillage, le Primum est déterminé à la récupérer, quitte à s’asseoir sur la politique des thérianthropes.
Livrée à elle-même, Bastet n’a pas prévu de se laisser faire. Même si pour cela, elle doit trahir cette étrange famille biologique pour protéger ceux qu’elle aime. Et quand le retour dans sa meute d’origine est synonyme d’éveil d’une ancienne magie thérianthropique qui fait planer la mort sur ses proches, tout se corse.
Mon avis :
Tout s’enchaîne avec une brusquerie salvatrice.
Le livre 1 était une mise en bouche, le livre 2, une épopée, et le livre 3, l’extase.
Les points de vue sont alternés. Bastet, Kanvael, chacun vit son aventure de manière différente et c’est juste époustouflant !
De nouveaux personnages font leur apparition pour des révélations ahurissantes !
Rien ne se passe comme prévu et l’univers semble basculer dans la folie.
Bastet, égale à elle-même, mène son combat de front. Elle n’a pas froid aux yeux et ce n’est certainement pas des membres de sa famille biologique qui vont l’apprivoiser.
Son lien avec le Primum se renforce alors que son « oncle » cherche à se l’approprier.
Mais la belle renoncera-t-elle à la Lactea Via de son plein gré ? Rien n’est moins sûr.
Dans cet ultime affrontement, nous voyageons en Espagne avant de retourner en Angleterre… ou pas ! Je vous laisse découvrir.
Les paysages sont glauques, voire sordides, mais la force de caractère sont les maîtres mots de ce nouvel opus.
La magie sous toutes ses formes est mise en lumière par l’apparition de pouvoirs mystiques.
Seule tragédie, c’est fini… Mais j’en veux encore !
Quoi ? On me dit qu’il y aurait un épisode Bonus dont vous pouvez lire les premières pages ici.
Je remercie les éditions Hlab pour leur bienveillance et félicite Maeva pour son histoire renversante.
Je vous invite à découvrir l’interview de Maeva ici et mon avis sur le tome 1 de la trilogie ici et sur le tome 2 ici.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le second tome de la trilogie Little Shade écrite par Maeva Bonachera et parue aux éditions Hlab.
Résumé :
Depuis qu’elle a emménagé à Exeter, la vie de Bastet est sens dessus dessous. Pourtant, même après avoir traversé l’enfer, elle essaie de surmonter son deuil et de remettre un semblant de normalité dans son quotidien.
C’est alors que le Primum, convoqué par la Prima britannique, lui demande de l’accompagner à Londres.
Y aller, c’est se jeter droit dans la gueule du loup, Bastet le sait. Une réunion de thérianthropes ne saurait être sans danger… Mais a-t-elle seulement le choix ?
Mon avis :
La tension monte crescendo dans cette suite tant attendue.
Bastet apprend à apprécier la compagnie de sa meute et se rapproche plus ou moins subtilement de certains membres.
La jeune femme intrépide et surtout indépendante se retrouve enrôlée de force dans un combat qui semble ne pas la concerner.
Pourtant le destin va s’en mêler pour nous faire vivre des moments palpitants à faire vrombir notre âme.
Le Primum s’impose de plus en plus à la belle, son attirance est de plus en plus marqué en dépit de sa retenue.
De nouveaux venus viennent perturber l’harmonie qui commence à se former entre les différents membres et tout peu basculer en un claquement de doigt.
Leur voyage pour la France ne sera pas de tout repos !
En bonus, des vampires, des goules et des sorcières rejoignent l’aventure !
La température monte d’un cran et Maëva nous offre un suspens frustrant tout en jouant avec nos nerfs.
Et cette fin ! La suite s’annonce épicée.
Désolée, messieurs dames, je vous abandonne pour me replonger dans cette histoire extraordinaire 😁
Encore une fois, je remercie les éditions Hlab qui ont une source inestimable de plumes magnifiques. Parfois farfelues, mais toujours d’une rare intensité.
Je vous rappelle l’interview de Maeva que vous pouvez retrouver ici et mon avis sur le tome 1 ici.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le premier tome de la trilogie Little Shade écrite par Maeva Bonachera et publiée aux éditions Hlab.
Résumé :
Depuis sa naissance, Bastet peut se transformer en jaguar, une capacité qu’elle et sa famille ont toujours pris soin de cacher.
Mais depuis son déménagement à Exeter, Bastet ne cesse de croiser le même homme. Un homme qui semble savoir à son sujet des choses qu’elle-même ignore…
Elle croyait être unique, elle se trompait.
Son secret n’en est plus un.
Dorénavant, où qu’elle ira, le danger rôdera.
Mon avis :
Des garous et des quêtes.
La première chose qui m’a attirée est cette couverture magnifique.
Les couleurs sombres et éclatantes, les regards sauvages et fiers, la beauté des personnages, l’ensemble est époustouflant !
Le monde surnaturel qui nous est présenté est extrêmement bien ficelé.
Quand je parle de monde surnaturel, il s’agit surtout de la part animale qui sommeille en chacun de nous… ou pas.
L’héroïne a un prénom original qui impose le respect, Bastet. Symbole de tout un empire, elle règne sur son peuple d’une main de maître. Pourtant, la jeune jaguar se complaît dans la solitude. Faire partie d’une meute ? Très peu pour elle !
Enfin, c’est ce qu’elle pensait avant de se faire enrôler de force en voulant sauver un de ses congénères voué à une mort certaine.
Petit à petit, elle doit apprendre à s’ouvrir aux autres. Ce qui n’est pas une mince affaire quand on n’aime pas dépendre des autres.
Un rapprochement avec les mâles environnants ? Non, plusieurs… ou pas !
Cette première partie est un condensé d’actions et d’émotions. On en ronronnerait presque de plaisir 🐈⬛🐅
Je fonce découvrir la suite, parce que franchement cette fin… ce n’est juste pas possible !!!
Merci aux éditions Hlab pour leur confiance et à Maëva pour sa gentillesse incroyable. Retrouvez son interview ici.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le dernier tome de la trilogie 900 écrit par Maëlle Poe et publié aux éditions Hlab.
Résumé :
Un mois s’est écoulé depuis le massacre de l’hôtel de ville. Un mois qu’Ugo et 900 ont vécu l’insoutenable. Un mois qu’ils vivent avec un besoin irrépressible de vengeance et un sentiment de culpabilité.
Ils étaient la neuvième réinsertion, considérée aujourd’hui comme un échec par le conseil… Une nouvelle réinsertion est sur le point de commencer, cinq cents filles ont été préparées. Ugo et 900 feront tout pour empêcher l’Histoire de se répéter.
Autrefois, ils avaient un prénom, un nom, une adresse, une famille qu’on leur a arrachée. Ils sont désormais au cœur de bien plus qu’une simple rébellion. 900 et Ugo s’engagent dans un combat pour leur identité et la liberté.
Mon avis :
Un final époustouflant !
Ce troisième et dernier tome est d’une intensité folle !
Les événements s’enchaînent, se multiplient et se superposent parfois, mais le rendu est incroyable.
Ce dernier opus est bien plus sombre que les précédents. Il nous porte dans la noirceur de la folie, dans un univers qui nous est insoutenable.
Les personnages n’ont pas fini de souffrir et le lecteur aussi…
J’ai vécu ce final comme un déchirement. Ces âmes perdues sont devenues mes amis, pour la majorité, et les voire se déchirer de la sorte m’a fait vivre l’enfer.
Plus on tourne les pages, plus on souhaite que tout redevienne normal. Mais au final, qu’est-ce que la normalité ?
Des adolescents ont été « reconditionnés », des vies ont été méprisées. Tout ça pour quoi ? Pour une utopie pensée par un fou ?
Je vais m’arrêter là pour ne pas spolier car il reste énormément de détails que vous devez absolument connaître.
Cette histoire est insensée, dingue, extraordinaire et magnifique.
Je suis émue et triste à la fois, car cette histoire s’achève sur des souvenirs mémorables.
Cette histoire, écrite par la talentueuse Maëlle Poe, m’a prouvé une nouvelle fois qu’écrire n’est pas une fin, mais le commencement d’une infinité de possibilités.
Merci pour cette évasion littéraire, merci Maëlle et merci aux éditions Hlab d’avoir repéré son potentiel.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le second tome de la trilogie 900 écrit par Maëlle Poe et publié aux éditions Hlab.
Résumé :
Lorsque 900 se réveille, elle se retrouve face à des visages inconnus. Qui sont ces gens ? Ces personnes qui se prétendent ses amis, cet homme, sombre et troublant, qui ne cesse de l’observer ? Tous semblent persuadés qu’elle a vu quelque chose qu’elle n’aurait pas dû. Quelque chose d’important. Quelque chose de grave. Mais quoi ?
De son côté, Ugo n’a qu’une seule idée en tête : se venger de ceux qui les ont attaqués lui et 900. Mais son combat est loin d’être personnel. Qu’il le veuille ou non, la révolution est en marche et Ugo doit la mener.
900 et Ugo ont un pouvoir immense entre leurs mains. Celui de changer le cours de l’Histoire.
Mon avis :
900 est amnésique !
Elle tente de se reconstruire malgré son appréhension.
Seule 899, son amie de toujours, sa sœur, lui permet un semblant de réalité. Mais les changements sont difficiles à interpréter.
Outre le lieu rempli de mystères, les habitants et surtout le groupe formé par nos héros, Ugo reste sa plus grande interrogation.
Il n’est jamais loin, sans être trop présent. Il ne veut pas la brusquer. 900 est redevenue celle qu’elle était avant son arrivée dans cette ville reconstruite. Elle n’a confiance en personne et pourtant, lorsqu’elle voit les changements de 899, de nombreuses questions l’assaillent. Elle veut récupérer ses souvenirs !
Face à un ennemi commun, tous doivent se serrer les coudes et des clans se forment. Les « gentils » et les « méchants ». Ugo et sa bande tentent de rallier toutes les factions à leur cause. Mais la 3ème, détachée de toute réalité, ne veut pas prendre partie et se mure dans le silence et l’inaction.
900 est attirée par Ugo, son âme se souvient, son corps entier a gardé en mémoire ses sentiments, ses doutes, ses certitudes.
Les scènes décrites sont une torture tant on les vit. Chaque mot, chaque phrase nous enveloppe dans cet univers tourmenté. Cette dystopie est magnifique. Ce deuxième tome, une merveille. Je suis scotchée par ce voyage qui me sonne des palpitations à chaque nouvel élément.
Et cette fin ! Pourquoi ?
Mon cœur a failli s’arrêter tant la souffrance m’a assaillie. Je suis en colère.
Telle 900 ou Camélia, je contiens ma rage pour ne pas tout exploser sur mon passage. Je me sens à la fois frustrée et confiante.
Frustrée parce que cette trilogie va bientôt s’achever et confiante parce que je me jette sur le tome 3 !
En trois mots, ce tome pourrais résumer par : vérité, honneur et amour ou peut-être : amour, mensonge, massacres. Faites-en ce que vous voulez 😉
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le premier tome de la trilogie 900 écrit par Maëlle Poe publié aux éditions Hlab.
Résumé :
En 2020, une épidémie a ravagé le monde. Des hommes sont morts, des villes ont été détruites. Seuls mille nouveau-nés ont pu être sauvés. Cinq cents garçons et cinq cents filles, qui ont été élevés dans des orphelinats séparés.
900 est l’une de ces filles. Elle appartient à la génération réparatrice. Ce sont eux qui créeront le monde de demain. Un monde où les discriminations n’existent pas. Pendant dix-sept ans, elle n’a vécu qu’avec des femmes. Mais dans un mois, la réinsertion commencera.
Les mille quitteront leurs orphelinats. Une nouvelle vie débutera.
Cependant, avant de partir, il leur faut apprendre la vérité. Ils ne sont pas seuls. Dehors, d’autres enfants sont nés. Dehors, règne l’anarchie. 900 et les siens sont le dernier espoir de la civilisation telle qu’ils l’ont rêvée…
Mon avis :
Nous sommes face à une dystopie bien ficelée sous forme de trilogie.
Les personnages sont décrits avec précision et réalisme.
On retrouve des mystères, de l’anormal, des questionnements. Les messages sont clairs, il s’agir de surmonter ses a priori, ses différences, et de réussir à s’ouvrir aux autres.
Cette histoire est une bulle d’émotions, on s’attache on est ému, on s’énerve, mais que c’est bon de se sentir vivant !
La présence de factions m’a fait penser à la saga Divergente par le caractère de chacun, façonné sans possibilité de rébellion.
Leurs noms sont également surprenants pour certains, car nous retrouvons 900, 899, Camélia, les jumeaux, 410 et Ugo. Sans oublier tous les autres.
Le destin de nos jeunes adultes semble scellé, ils sont l’unique espoir de l’humanité.
Malgré quelques réticences et têtes de bois, une alchimie se crée entre une poignée de nos héros. Certaines par obligation, d’autres par attraction.
Des missions doivent être menées, non sans mal.
Alors que tout les oppose, deux êtres vont se rapprocher sans jamais se l’avouer. Mais des secrets vont se dévoiler et des vies doivent être sauvées.
Le destin ne semble pas vouloir être clément car une terrible découverte va être faite, mettant le destin de nos jeunes à rude épreuve.
Vont-ils se battre pour retrouver un semblant de liberté ou vont-ils abandonner tout espoir ?
Et cette fin !
En bonne auteure sadique, Maëlle nous fait vivre l’enfer !
La suite est vivement attendue, ça tombe bien, je l’attaque de suite !
On ne peut pas jouer avec ses lecteurs de cette manière ! Ce n’est pas humain !
Pour ma part, il s’agit d’un coup de cœur pour cette histoire originale et extrêmement libératrice.
Une ode à la découverte, au bannissement de la haine, à la reconquête de l’estime de soi.
Une histoire magnifique, remplie de mystères et de questions en suspens.
Aujourd’hui je souhaite vous parler du succès Netflix de l’été 2021, j’ai nommé Sex/Life écrit par la sublime BB Easton. Son roman, devenu BestSeller aux Etats-Unis, a franchi toutes les frontières pour s’imposer un peu partout sur la planète.
En France, on le retrouve aux éditions Hachette Lab et BMR un peu partout en version numérique et papier depuis le 30 juin 2021.
Infos :
ISBN : 978-2-01-716665-8
Prix 18€
Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Bénédicte Bernier
Design de couverture par BB Easton
Résumé :
L’histoire vraie qui a inspiré la série Netflix phénomène !
Après avoir passé des années à essayer de pimenter ma vie sexuelle, j’ai laissé tomber et me suis tournée vers mon journal. Mon mari magnifique, mais froid n’était tout simplement pas capable du genre de passions auxquelles je m’attendais… À défaut de vivre la passion, je pouvais l’écrire. Il me suffisait de puiser l’inspiration dans mes souvenirs et me remémorer tous mes anciens amants « bad boys ». Pas besoin d’en parler, ce serait mon secret ! Évidemment, mon mari a trouvé mon journal. Et évidemment, il en a pris de la graine. Alors, j’ai commencé à jouer avec le feu et à influencer Ken avec mes écrits. Et mon petit jeu a très bien fonctionné… jusqu’à ce que Ken se rebelle. Et là, j’ai eu la surprise de ma vie.
Mon avis sur le roman : -18
Ce roman permet un total lacher prise ! C’est drôle, piquant et émouvant.
La plume de l’auteure est addictive par sa simplicité et son franc parler. Sous forme de journal intime, le résultat est extra !
Je me suis régalée du début à la fin.
Personnellement, je ne me verrais pas faire tout ce qui est noté… tout de même, c’est une championne !
Mais commençons par le commencement 😉
La couverture est une invitation à la luxure ! Rose bonbon, comme les cheveux de BB, je trouve ça rafraîchissant.
Et cette mise en page est très originale car on entre réellement dans l’intimité de l’héroïne.
On devient littéralement l’œil voyeur et les oreilles curieuses qui vont se poser de nombreuses questions.
Il s’agit d’une remise en question qui trouvera une seule et unique réponse, vivez votre amour comme vous l’entendez.
Cette histoire, bien que déconseillée aux âmes prudes et sensibles (certains passages sont extrêmement crus), est une ode à l’amour, dans tous les sens du terme.
Mon avis sur la série : -18
Les personnages sont fragiles et leur sensibilité se ressent dans la version française. J’ai préféré regarder cette première saison diffusée sur Netflix en version originale pour ressentir les intentions des acteurs.
Les scènes sont TRES charnelles et les couples semblent sincères. Ne pas laisser vos codes d’accès à vos enfants !!!
MAIS, certains passages m’ont interpellée… Comme dans l’épisode 3 sous la douche, OUI, vous voyez de quoi je veux parler ! Brad, on en parle de la proéminence légèrement retouchée selon moi ? Bon, il est vrai que des Rocco Si Fredi, ça existe, mais là !! Heu, laissez-moi être perplexe 😉 Et là, je chuchoterais à l’actrice : Ma pauvre dame, vous avez été montée par un âne et pas qu’un peu ! Dire qu’elle est en couple avec lui dans la vraie vie. Sa démarche de canard a une explication à présent ! (Pardon c’était méchant et totalement injustifié.)
Puis, l’épisode 7, avec la scène HOOOOOT de Monsieur Cooper qui se fait « bizouiller ou léchouiller » pour rester polie par la femme de son collègue… je dis NON ! Argh ! Que ça m’a énervée ! Et l’autre, elle reste là à regarder son mari en mode « choquée », mais elle attend bien qu’il ait terminé avant de réagir ! Tsss
Et puis ce final avec l’épisode 8, je me suis dit, chouette, leurs problèmes se résolvent par les concessions et les compromis, c’est ce que tout le monde fait, non ?
Ca partait si bien… pour finir en cacahuète !
Je me demande ce que la saison 2 nous réserve, parce que là, je reste sur ma faim 😉
Pour la petite anecdote, je n’ai toujours pas regardé la saison 2 depuis…
Dans l’ensemble, ce que je retiens de cette première saison diffusée sur Netflix (non je ne touche pas de commission à chaque fois que je les mentionne, promis). Du sexe, des dépressions, des frustrations, des ambitions et des pratiques extrêmes en matière de tentatives maladroites de rapprochement. Derrière tout ça, une femme à bout, épuisée moralement et physiquement, certainement en proie à un syndrome post-partum, mais également un homme bon et bienveillant qui se retrouve dans un tourment infernal pour tenter d’aider sa femme. Une histoire d’amour comme on ne la connaît pas. Elle, qui resasse ses souvenirs torrides avec ses ex en comparant sa vie passée à sa vie présente et Lui, perdu à tenter de s’aligner sur les compétences sexuelles de ses rivaux.
Une histoire d’amour extravagante car elle remet en question l’équilibre d’une famille, d’un couple, de tout un foyer.
Ce qui dérange le plus, c’est l’inversion des rôles habituels. N’oublions pas que les hommes ont la réputation d’être volages, de chauds-lapins, d’éternels insatisfaits. Lorsqu’une femme agit de la sorte et que celui-ci se retrouve être la « victime », la première réaction est le recul. On ne veut pas être mêlé à ce genre de pratique qui n’entre pas dans les bonnes mœurs…
Interview de BB Easton !
Vous avez bien lu. L’auteure m’a fait l’honneur d’accepter de répondre à quelques questions. Je lui en suis infiniment reconnaissante car elle est adorable.
Ca, c’était prévu pour fin 2021…
Eh bien, après une période un peu chaotique qui nous emmène en mai 2022, je n’ai finalement pas eu le privilège d’avoir mon interview avec la charmante BB.
Ce n’est que partie remise !
Elle a été très gentille et je pense sincèrement que son emploi du temps de folie l’a obligée à faire des choix parmi les nombreuses sollicitations qu’elle a dû recevoir.
Je ne lui en tiens absolument pas rigueur car sa plume est extrêmement drôle et son histoire vaut une bonne séance chez le psy, les larmes en moins… quoi que, avec les fou rires, les larmes ne sont jamais loin 😉
Je la remercie tout de même pour ses gentils mots.
Je vous invite à découvrir son roman drôle et addictif, mais s’il vous plaît, ne le laissez pas traîner n’importe où 😉
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le premier tome de la saga « Suprêmes », L’Académie de @wylene_g paru aux @editions_hlab
Résumé :
À dix-sept ans, Anaïs Lanero vit une existence banale. Enfin jusqu’à ce que sa grand-mère la retrouve en pleine lévitation durant son sommeil ! Cette dernière est formelle : Anaïs a forcément hérité des pouvoirs de sa mère décédée, et fait partie de la société des Suprêmes. Un nouveau monde s’ouvre alors à Anaïs. Un monde de magie et de dons, avec des personnes capables de se métamorphoser, de lire dans les pensées, de manipuler les esprits ou encore dotées d’une force surhumaine… Pourtant, Anaïs a dû mal à y croire. Après tout, elle n’a pas de talent particulier et ne possède pas la marque des suprêmes sur le poignet droit… Pour que sa magie se manifeste, Anaïs doit quitter ses amis pour intégrer une école secrète : l’Académie des Suprêmes.
Mon avis :
Wylène a une plume magnifique ! Son histoire est surprenante par sa complexité mêlée à une fluidité de lecture. On retrouve de l’intrigue, du suspens, du mystère, des passions, des rapprochements et des révélations. L’héroïne est propulsée dans un univers qu’elle ne maîtrise pas. Son monde s’effondre lorsqu’elle découvre ses origines et son potentiel. Dans son nouveau lycée, les choses ne se passent pas exactement comme elle l’espérait ce qui remet en cause la légitimité de sa place. Poussée par sa grand-mère, elle découvre tout un univers bien plus grand que ce qu’elle n’osait imaginer. Heureusement, une aide inattendue dans la maîtrise de ses dons viendra la frapper de plein fouet ! Mais sera-t-elle réellement bienveillante ? Je vous laisse le découvrir 😁 Je pense, non je l’affirme, il s’agit d’un énorme coup de cœur ! J’attends la suite avec impatiente !
Je remercie infiniment les éditions HLAB pour la mise à disposition de ce roman en version numérique. Je vous invite à découvrir bien plus qu’un livre, tout un univers 😉
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le roman feel good de @fanny.dl Comme au bon vieux temps, paru aux @editions_hlab
Résumé :
Mariée à son amour de jeunesse et mère de deux enfants, Élise, trente-neuf ans, a tout pour être heureuse. Seulement, la jeune femme a la sensation que l’union qui régnait dans son foyer s’évanouit de jour en jour.
Un soir, au dîner, elle prend conscience de l’addiction qui éloigne les membres de sa petite famille : les portables, les consoles… tous ces écrans qui les empêchent de communiquer entre eux. Élise va tenter de retrouver l’harmonie familiale avec un ultime défi pour elle, son mari et ses deux enfants : passer les prochaines vacances sans aucun écran ! Comme au bon vieux temps…
Mon avis :
Un feel good comme on les aime !
Fanny signe là son premier roman du genre et c’est une complète réussite.
Je suis sous le charme.
Les personnages sont réalistes tout comme leurs sentiments. Ils cherchent à se réapproprier leur vie et leur besoin d’unité. La plume de l’auteure est fluide et délicate. Je me suis mise à la place de l’héroïne et ai vécu ses espoirs et frustrations…
Un message se cache dans ces pages, celui de la tolérance envers autrui, mais avant tout envers soi-même. Nous avons nos défauts, nos faiblesses, mais lorsque l’on ose relever la tête et contempler ce qui nous entoure, on se retrouve submergé par des émotions surprenantes.
Se passer des écrans, une utopie ? Personnellement, je ne pourrais pas, pour la simple et bonne raison que je suis totalement dépendante de cette addiction. Et vous ? Quelle serait votre réaction si on vous en privait pendant vos vacances ?
Soyez honnêtes, ça restera entre nous 😉
Je remercie les éditions HLAB pour la mise à disposition de ce roman qui m’a fait voyager pendant ces vacances estivales !
Je vous invite à découvrir la maison d’édition ainsi que l’auteure aux multiples facettes, un peu partout sur les réseaux.